Le Samsung SGH-M100 redonne un peu d'utilité au téléphone en veille, en lui adjoignant un lecteur MP3. Doté d'une carte mémoire de 32 Mo, ce dernier permet la lecture de 34 minutes de musique numérique. Le tout est contrôlé par une mini télécommande attachée à l'ensemble microphone/écouteur, tandis que l'appareil reste dans la poche. L'appareil demeure petit et léger : 97g, c'est-à-dire à peine plus que la plupart des petits mobiles, mais franchement moins que beaucoup de players MP3.

Allo ? Ouaf, ouaf ? Et si bientôt les animaux domestiques étaient eux aussi équipés de téléphones portables ? Cette idée saugrenue a germé dans l'esprit de deux sociétés japonaises de téléphonie mobile. Dans un pays où l'on considère que d'ici 2003 tous les adultes seront équipés d'un portable, il faut bien trouver de nouveaux marchés.

Dans les faits, comment cela fonctionnera-t-il ? L'animal disposera d'un mini-téléphone attaché à son cou, et son maître pourra à tout moment l'appeler pour lui murmurer quelques mots de réconfort. Ainsi plus besoin de culpabiliser parce que votre patron vous a retenu plus longtemps au bureau et que Médor est seul à la maison. Alors qu'est-ce qu'on dit ? Arigato gosaimasu !! Et « ouaf », oui, on sait...(source Alcatel) par Laurent Noel

Pour etre le vainqueur absolu, il doit se debarrasser de Duncan et Connor. Ceux-ci decouvrent que les regles ont change et que chacun de leurs adversaires possede un pouvoir de destruction incroyable grace a la maitrise des arts martiaux et de l'epee.

Site officiel : Bacfilms

Les recherches sur les vêtements intelligents n’oublient pas les plus intimes d’entre eux, à commencer par le soutien-gorge. Plusieurs projets de soutien-gorge du futur sont à l’étude dans les laboratoires. En Australie des scientifiques de l’Université de Wollongong travaillent à la mise au point du « Smart Bra », le soutien-gorge intelligent, équipé d’une puce électronique. Cette puce enregistre les mouvements de la poitrine et adapte la texture des bonnets ou la longueur des bretelles en fonction de ces mouvements.

Le confort est important mais ça ne suffit pas : le soutien-gorge doit aussi être au service de la santé. L’« Electronic Bra » pourrait ainsi voir le jour dans quelques années et contribuer à la prévention du cancer du sein. Des chercheurs anglais de la Montfort University de Leicester imagine un soutien-gorge capable de détecter toute grosseur inhabituelle dans le sein et de la visualiser sur un écran. Côté esthétique, ces merveilles de techniques risquent pourtant de ne pas détrôner les Wonderbra et consorts.

J'ai 25 ans, je suis afghane et je viens de fuir mon pays. J'aurais aimé vous donner mon nom et vous montrer mon visage, mais ce simple geste mettrait en danger ma famille, restée à Kaboul. Je veux pourtant témoigner, raconter ce qui se passe là-bas, loin, si loin d'ici. Des Français me demandent parfois : « Est-ce que cela ne vous choque pas de voir le monde entier s'émouvoir plus devant la destruction des bouddhas de Bamiyan que devant la situation des femmes dans votre pays ? » Oui, cela me choque. Mais si cet acte fou peut, en attirant l'attention du monde, empêcher notre drame de se banaliser ou de sombrer dans l'indifférence, pourquoi pas ? L'essentiel pour moi est de faire savoir qu'en Afghanistan aujourd'hui ce ne sont pas seulement des statues millénaires qu'on détruit. C'est aussi un peuple, mon peuple, qu'on assassine.

Car l'Afghanistan n'a pas toujours été cet Etat rétrograde et fanatiquement religieux qu'on nous présente maintenant. Je me souviens des jours heureux racontés par mes parents - mon père est médecin ; ma mère est institutrice, ou plutôt elle l'était, puisque tout enseignement est désormais interdit aux filles. Dans les années 70 elle portait des minijupes et des souliers à talons hauts que nous allions, petites filles, sortir des malles comme autant de reliques. Les photos de famille montrant mes tantes en jean ou ma mère en maillot de bain nous ont longtemps fascinées avant de disparaître récemment sous le plancher - prudence oblige.

Une tique, vieille de 90 millions d’années, pourrait être une buveuse de sang de dinosaure. La tique nommée Carios jerseyi a été découverte fossilisée dans l’ambre, il y a quelques années, dans une roche du New Jersey. L’âge de ce fossile est évalué entre 90 et 94 millions d’années. Le parasite est actuellement étudié par Hans Klompen de l‘Université d’Etat de l’Ohio. Selon lui, il est tout à fait possible que cette tique contemporaine des dinosaures ait eu comme repas le sang de ces animaux disparus. Hans Klompen tient à rappeler que toutes les tiques sont hématophages. Cependant les scientifiques ne comptent pas créer un Jurassic Parc réel. Pour eux, il y a peu de chance de trouver à l’intérieur du parasite de l’ADN intact et lisible.

Les repas de cette tique resteront un mystère car les scientifiques veulent garder l’animal intact dans sa prison d’ambre. En effet, elle représente un spécimen unique ayant des particularités spécifiques par rapport aux tiques actuelles. Pour l’instant la Carios jerseyi est le plus vieux fossile de l’ordre des parasitaires, c’est elle qui a permis de reculer de 50 millions d’années l’apparition de cet ordre.

La compagnie pharmaceutique britannique GW Pharmaceuticals vient de publier les résultats de tests de médicaments anti-douleur à base de cannabis. Ceux-ci étant positifs, la société espère pouvoir commencer à commercialiser ses produits vers 2003.

C'est en avril 2000 que GW Pharmaceuticals avait obtenu l'autorisation d'effectuer ces essais sur des patients atteints de cancer, sclérose en plaque ou arthrite. Les sujets se sont vus administrer des vaporisations du produit sous la langue. Et tous ont constaté une amélioration de leurs fonctions neurologiques en même temps qu'une diminution substantielle de la douleur.

Pour les curieux, précisons que le lieu où est cultivé le cannabis est tenu secret.

Pourquoi les acides aminés ont-ils adopté l'homochiralité – du grec, homos, semblable et khier, main –, cet attribut essentiel à l'apparition de la vie ? Pour répondre à cette question, Robert Hazen et son équipe ont créé un liquide contenant les deux « versions » d'un acide aminé. Puis ils ont trempé un bout de calcite dans leur mélange : un cristal à base de calcium et de carbone qui était très abondant sur Terre il y a 4 milliards d'années.

Comme le rapporte le Prooceedings of the National Academy of the Sciences du 1ier mai, les acides aminés se sont placés d'un côté ou de l'autre du cristal selon qu'ils étaient « droitiers » ou « gauchers ». Une ségrégation qui a une raison simple : à l'échelle atomique, la calcite a lui-même des facettes chirales, c'est-à-dire droitières ou gauchères. Cette séparation originelle des acides aminés, écrivent les auteurs, a peut-être été le premier pas qui a mené aux protéines. Une hypothèse séduisante, même s'il faudra encore s'assurer que la calcite pousse ces molécules... à se prendre la main !

Un diplomate de l'ONU, Scharff-Hansen, récupère l'invention et crée dans une université américaine un institut des nouvelles sciences humaines.On va savoir, enfin, après des millénaires d'obscurantisme, comment fonctionne réellement l'homme, à quoi il sert, qu'elle est sa fonction dans le cosmos. La transcendance analysée au laboratoire, passée au scanner. Les communautés religieuses, voyant leur plates-bandes scientifiquement piétinées, réagissent. Les religieux catholiques, juifs, bouddhistes, musulmans, serrent les coudes, se réunissent, soucieux de ne pas laisser les scientifiques mettre la main sur ce qu'il considèrent être une chasse gardée.En arrière plan il se passe des choses bizarres dans le monde. Ce ne sont plus les hommes qui sont déracinés, mais des peuples entiers, qui se mettent en marche, inexplicablement, comme des sauterelles migratrices, franchissant les déserts, en effectuant des migration absurdes. Une planète devenue folle.

Le DeCSS fait encore parler de lui : le webzine 2600, qui avait diffusé sur son site les codes permettant de copier des DVD, a déposé un recours contre l'ordonnance qui lui interdit de publier le code source du DeCSS. Les débats ont commencé devant la justice... Trois juges fédéraux américains examinent en ce moment l'appel de l'avocat du web magazine 2600. Ce dernier fait appel d'une décision de 1998 concernant l'interdiction de copier les DVD qu'il juge inconstitutionnelle. Il s'agit du fameux DeCSS, ce logiciel qui permet la copie des DVD en faisant sauter la protection gravée sur le support. 2600 avait publié des liens permettant de télécharger ce logiciel. Les discussions portent sur l'illégalité de la distribution des codes et les juges semblent plutôt favorables à l'industrie cinématographique.

Ainsi, l'un des juges estime qu'il est certain que la large disponibilité du code s'accompagne d'une augmentation du piratage des DVD. D'autre part, l'avocat de 2600 accuse le DMCA (Digital Music Copyright Act), loi mettant à jour le copyright pour les nouveaux formats, de violer le premier amendement en bloquant les usages même limités du matériel protégé, utilisé par exemple pour les écoles, pour la critique ou pour la parodie. La cour d'appel a donné aux deux parties jusqu'au 10 mai pour présenter définitivement leurs arguments, aucune date n'est pour l'instant fixée pour une décision finale.

Cette affaire qui oppose les grands studios américains à un petit site prend de plus en plus l'allure de "Napster contre les majors du disque". La MPAA (Motion Picture Association of America) n'aurait-elle pas retenu la leçon ?

Par Karima Bouaici

Quand ils se regardent dans un miroir, les dauphins peuvent reconnaître leur image. Jusqu’à présent, cette preuve d’intelligence n’avait été détectée que chez les grands singes d’Afrique. Quand ils se mirent, la plupart des animaux ne savent pas qui les dévisagent. La preuve : soit ils ignorent leur reflet, soit ils l’agressent, pensant avoir affaire à un autre individu. Selon une étude publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) datés du 1er mai, ce n’est pas le cas des dauphins.

Pour révéler cette aptitude, Diana Ross et Lori Marino, auteurs des travaux, ont maquillé Tab et Presley, deux spécimens de l’aquarium de New York. A l’aide d’un crayon, les chercheuses américaines ont dessiné sur la tête et sur le ventre des deux mammifères marins. Il ne manquait plus qu’à observer la réaction des cétacés face aux miroirs installés dans leur bassin. Première constatation : le maquillage pousse Tab et Presley à nager plus vite pour venir admirer leur « nouveau look ». Ainsi travestis, ils passent plus de temps à se contempler. De plus, ils s’évertuent à choisir la surface du miroir qui leur fournira l’image la plus précise. Dernière observation : ils n’adoptent pas le même comportement face à leur reflet que face à un congénère.

Certains trous noirs tourneraient sur eux-mêmes, à l’image de l’eau qui forme un vortex lorsque la baignoire se vide. L’astronome Tod Strohmayer, du centre Goddard de la NASA, pense en avoir détecté une preuve, pour la première fois, en observant un microquasar appelé GRO J1655-40.
Strohmayer a étudié cet objet à l’aide du Rossi X-Ray Timing Explorer (RXTE), un satellite de la NASA lancé en 1995. Le rayonnement émis par le microquasar possède une structure qui n’a jusqu’à présent été observée que sur les étoiles à neutron, dont on sait qu’elles tournent sur elles-mêmes. Strohmayer en déduit donc que ce trou noir fait la même chose.

« La plupart des objets célestes tournent sur eux-mêmes, qu’il s’agisse des planètes, des étoiles ou des galaxies », rappelle l’astronome. « Mais dans le cas des trous noirs, il est difficile de voir directement s’ils tournent, car il n’ont pas de surface solide qui puisse servir de point de référence ».

Les Occidentaux ont adopté le téléphone mobile comme un appareil pratique, mais il est aussi un véritable faire valoir ou jouet technologique. Les populations européennes utilisent le téléphone mobile pour communiquer – par la voix ou l’écrit – mais aussi pour frimer, draguer ou encore s’amuser.

Les Asiatiques, fervents adeptes de gadgets technologiques en tout genre, n’ont pas eu de mal mettre dans leurs poches les mobiles. Non seulement c’est un téléphone, mais il peut aussi se transformer en baladeur, appareil photo et – autre avantage au Japon – on peut surfer sur Internet. Ce dernier point est d’ailleurs primordial, car les Asiatiques n’ont pas forcément un accès personnel au Web. Le mobile est alors un bon complément de ce manque cruel.

Le téléphone mobile en Afrique est plutôt un outil de base indispensable à un minimum de confort. De nombreux pays n’ont pas de réseaux téléphoniques importants. Amener une ligne fixe coûte de l’argent et demande énormément de patience. Le mobile est alors un bon palliatif aux tracas administratifs et aux difficultés économiques de ces pays.

Ce sont les partisans de l’âme qui vont être contents. Après avoir un instant flirté avec les gènes, les scientifiques qui recherchent la différence entre l’humain et le chimpanzé en reviennent à l’esprit, ou du moins au cerveau. Après avoir séquencé l’ensemble du génome humain, et alors qu’ils en sont à séquencer celui du chimpanzé, les chercheurs en arrivent à la conclusion que ce ne peut pas être seulement 1,3% de différence qui fait toute la différence.

C’est ce qu’est venu expliquer Svante Pääbo, de l’Institut Max Planck d’anthropologie de l’évolution (Allemagne), aux délégués du congrès annuel sur le génome humain, qui avait lieu la semaine dernière à Edimbourg, en Ecosse. C’est quelque chose dans l’activité de notre cerveau qui nous distingue des chimpanzés, et non pas uniquement nos gènes, a-t-il insisté.

Les chercheurs ont lié des biopuces informatiques à 20 000 gènes humains, et mesuré le niveau d’activité de ces derniers, dans notre cerveau, dans notre foie et dans notre sang. Activité qu’ils ont comparé avec des expériences similaires déjà pratiquées sur des chimpanzés, nos plus proches cousins, et des macaques rhésus, des cousins plus éloignés. Dans les trois cas, les activités au niveau du foie et du sang furent similaires. Mais c’est du côté du cerveau que se sont manifestées les plus grandes différences. "Le cerveau (humain) a un usage accéléré des gènes", explique Svante Pääbo pour le service d’information de la revue Nature.

Malgré l’aspect menaçant de son rostre hérissé de dents pointues, le poisson scie est d’un naturel plutôt nonchalant et paresseux. Ces qualités risquent de coûter cher à l’espèce, qui est menacée d’extinction, affirment des défenseurs de l’environnement aux Etats-Unis.

Le bureau américain de la pêche et de la marine estime que le poisson scie « à petites dents », le Pristis pectinata, est menacé d’extinction. Selon certaines études scientifiques, la population de cette espèce particulière a diminué de 99% au cours des 50 dernières années. L’association pour la protection du milieu marin (Center for Marine Conservation, Washnington DC) demande à ce que cette espèce soit inscrite sur la liste des espèces menacées aux Etats-Unis.

Plusieurs facteurs rendent le poisson scie vulnérable. Son rostre se coince facilement dans les filets des bateaux de pêche. Son habitat, près des côtes et dans des eaux peu profondes, l’expose à l’action de l’homme. Il semble également que sa reproduction soit lente. Le poisson scie n’atteint sa maturité sexuelle qu’à l’âge de 10 ans et ne se reproduit qu’une fois tous les deux ans.

IBM veut repousser un peu plus les limites de la miniaturisation des puces, grâce à une nouvelle découverte de ses chercheurs. Le groupe américain lance également un programme de recherche visant à rendre les ordinateurs autonomes.

Des chercheurs d'IBM ont fait un pas de plus vers la miniaturisation des micro-processeurs en mettant au point des transistors constitués de nanotubes de carbone 500 fois plus petits que les transistors à base de silicium utilisés actuellement. Cette nouvelle génération de transistors va permettre la fabrication d'ordinateurs plus petits mais plus rapides et plus puissants. Par ailleurs, IBM a également lancé un énorme projet de recherche destiné à créer des ordinateurs capables de se réparer eux-mêmes. Ce programme, baptisé eLiza, va accaparer 25% du budget recherche et développement de la société américaine, soit plusieurs milliards de dollars. Il sera conduit dans sept laboratoires par des centaines de chercheurs dans le monde entier.

Le but ultime d'eLiza est de limiter les interventions de techniciens sur les systèmes informatiques et les serveurs. En effet, le coût de cette main d'œuvre (rare) hautement qualifiée est très élevé et beaucoup d'entreprises aimeraient pouvoir s'en passer. Les ordinateurs se mettront à jour en installant des logiciels et des données de manière automatique. Semblables à des entités biologiques, ces ordinateurs détecteront les erreurs mais aussi les tentatives d'intrusion ou les mauvaises manipulations. La fin des administrateurs de réseaux ?

Par Karima Bouaici

Integral est une mission astronomique de grande échelle à laquelle l'Agence Spatiale Européenne (ESA) prend une part active. La mise en orbite est prévue pour le printemps 2002, la mission étant conçue pour une durée d'environ cinq ans. Il s'agira d'explorer les objets célestes émettant dans la bande spectrale des rayons gamma.

Bien que très énergétiques, ceux-ci sont invisibles à l'œil nu. Ils nécessitent donc la mise en place d'un appareillage lourd pour pouvoir être observés, à l'image du spectromètre SPI actuellement en cours d'étalonnage sur le site du Commissariat à l'Energie Atomique de Bruyère-le-Châtel.

Le but de la mission sera entre autres d'observer les supernovae, afin d'en apprendre plus sur les origines de l'univers.

Ces quatre guerriers sont toutefois bien décidés à mettre la main sur le bracelet. Ils sont à l'emploi de la séduisante Meela et du diabolique Lock-Nah, qui sont présentement fort occupés à excaver les ruines d'Hamunaptra, la cité des morts. Ayant enfin retrouvé les restes d'Imhotep, ils le ressuscitent grâce au livre de la mort, ramenant ainsi à la vie le cauchemar d'il y a neuf ans! Mais leur plan ne s'arrête pas là : ils prévoient également ramener à la vie Anck-Sunaman, l'amour interdit d'Imhotep. Si ces deux amoureux légendaires se rendent à l'oasis d'Ahm Shere, ils pourront finalement dominer le monde.

Cette oasis, ancien repère du roi scorpion qui avait il y a plusieurs milliers d'années échangé son âme avec le dieu Anubis pour devenir mi-scorpion mi-humain, est cependant introuvable sans un élément clé : le bracelet d'or découvert par les O'Connell. Celui-ci permet à celui qui le porte de « voir » le chemin menant à l'oasis. Imhotep fera tout pour mettre la main sur ce bracelet, car il n'a pas l'intention d'essuyer un nouvel échec.

Site officiel : The Mummy

Le Pérou serait le berceau de l’urbanisme du Nouveau Continent. Telles sont les conclusions d’une étude publiée dans la revue Science par des chercheurs du Field Museum de Chicago. Les traces de la première vie urbaine des Amériques ont été découvertes sur le site de Caral, anciennement nommé Chupa Cigaro, l’un des 18 sites de la vallée de Supe, au centre du Pérou. C’est une datation au carbone qui a permis de faire remonter ces bâtiments entre 2.600 et 2.000 ans avant JC, du temps des grandes pyramides d’Egypte. Auparavant, les archéologues qui travaillent sur le site depuis 1905, pensaient que les bâtiments étaient mille ans plus jeunes. Hormis plusieurs immeubles pouvant servir d’habitations, Caral possède des édifices « monumentaux » dont l’un est haut de cinq étages et aussi long que deux terrains de football.

Grâce à Hubble, les astronomes ont pu assister à la naissance de planètes dans la nébuleuse d'Orion. Située à 1500 années-lumière de la Terre, cette dernière se présente comme une véritable « nurserie stellaire ». John Bally de l'Université du Colorado et Henry Throop du Southwest Research Institute à Boulder ont ainsi assisté à un phénomène unique.

A partir de poussières en suspension, des particules se forment et grossissent à la manière d'une boule de neige. Mais de très nombreux « fœtus » sont détruits par les rayonnements des grandes étoiles. Cette découverte oblige cependant à revoir à la baisse les espoirs de trouver de la vie dans l'espace (environ 10 % des étoiles possèdent des planètes).

"La sorcellerie existe par des pratiques et des faits", explique Dominique Camus, 49 ans, docteur en sciences sociales et auteur de sept ouvrages sur le sujet, dont une trilogie de 1.500 pages, "Jeteurs de sorts et désenvoûteurs" (Flammarion). Dans son dernier livre, "la sorcellerie en France aujourd'hui", aux éditions Ouest-France, M. Camus expose "les points-clés" nécessaires à la connaissance de ce phénomène, qui fait l'objet, selon lui, de préjugés et d'amalgames. Ainsi, explique-t-il, les sorciers se distinguent des médiums et des voyants, qui n'ont que des "pouvoirs d'interprétation". "Un sorcier doit posséder des pouvoirs d'intervention , sur les hommes, les animaux et les objets", décrit-il. Ces pouvoirs, poursuit-il, se caractérisent aussi par leur réversibilité: "le sorcier peut détraquer des objets et les réparer, rendre malade les hommes mais aussi les soigner".

"Un monde dangereux" : Dominique Camus, qui a enquêté sur de nombreux cas, notamment en Bretagne, estime à "au moins un, plus vraisemblablement quatre ou cinq", le nombre de sorciers présents par canton en France, "le double dans les cantons urbains", car, contrairement à une idée reçue, "la sorcellerie n'est pas synonyme de ruralité". "Dans les villes, les sorciers pratiquent généralement leur profession en libéral sous l'appellation de parapsychologue, tandis que dans les campagnes, ils sont le plus souvent exploitants agricoles", explique-t-il. M. Camus évoque également les sommes considérables en jeu, "des dizaines de milliers de francs par intervention" qui produisent un chiffre d'affaires annuel colossal échappant souvent au fisc.

Quant à la réalité de la sorcellerie, outre les multiples expériences dont il a été témoin et rapporteur, M. Camus, qui "ne prend pas parti", constate que "les êtres humains ne se transmettent pas pendant des milliers d'années des pratiques qui n'ont aucune utilité". Il refuse l'idée qui fait du sorcier "un charlatan et de ses clients, des ignorants superstitieux", rappelant que ces phénomènes s'expriment sur fond de "détresse humaine, physique et morale". Le sociologue décrit la sorcellerie comme "un monde dangereux où rien n'est acquis d'avance", évoquant "le choc en retour" auquel s'expose celui qui manie les forces occultes. Un sorcier qui garantit la réussite à son client n'est donc qu'un imposteur, ajoute M. Camus.

Les pratiques de sorcellerie décrites dans son ouvrage, illustré, entre autres, de photos saisissantes de poupées d'envoûtement ou d'organes d'animaux percés de clous, obéissent elles aussi à des rituels très codés, où la répétition des formules et la référence au diable ou au religieux a toute sa place. L'ouvrage de M. Camus, qui a reçu l'imprimatur de l'évêque de Rennes, est postfacé par le prêtre exorciste du diocèse, l'abbé Isidore Froc, pour qui "ce qui importe, c'est l'expérience vécue par ceux qui pensent à un envoûtement et non la réalité des faits qu'ils évoquent. C'est le point de vue qui fonde l'objet sorcellerie", estime-t-il.

Deux égyptologues français veulent s’attaquer aux mystères de la pyramide de Khéops, à la recherche de cavités secrètes. Jean-Yves Verd'hurt et Gilles Darmion ont effectué des relevés d’architecture qui leur permettraient de localiser des vides dans la pyramide, la plus grande des trois du plateau de Gizeh, au Caire. Les chercheurs s’interrogent depuis longtemps sur les anomalies de construction de cette pyramide.
Jean-Yves Verd'hurt et Gilles Darmion, qui sont des égyptologues ‘’amateurs’’ soutenus par l'Institut français d'archéologie orientale (IFAO), ont déjà annoncé une découverte très importante l’année dernière dans la pyramide de Meidoum. Il s’agit de la plus vieille pyramide d’Egypte, située près du Fayoum, à 80 km au sud du Caire. Les deux Français y ont révélé l’existence de chambres totalement inconnues.

Heureux lauréat d'un concours lyrique, Luciano Pavarotti débute avec le rôle de Rodolphe dans La Bohème de Puccini sur la scène de l'opéra de Reggio Emilia. Ce fut un triomphe. La même année, il chante La Traviata à Belgrade. De concerts en Festival, les scènes d'Europe puis du monde entier l'accueillent.
Doté d'un timbre exceptionnel, Luciano Pavaroti, né le 12 octobre 1934, à la silhouette rabelaisienne (1,90 m pour un poids variant de 85 à 135 kg), rehaussé d'une barbe brune faisant ressortir un sourire radieux, est universellement réputé. Il a enregistré des dizaines d'albums et donné sans compter, de sa voix et de sa présence.

Il a brisé l'isolement des ténors chacun dans leur théâtre en lançant les concerts des "trois ténors" avec Jose Carreras et Placido Domingo dont celui en juillet 1998 retransmis en mondovision depuis la Tour Eiffel. "Nous avons appris à nous connaître humainement, outre l'estime il y a maintenant l'affection entre nous" a expliqué récemment big Luciano. Il a aussi révolutionné le genre en chantant tous les registres, de la variété à la chanson napolitaine, donnant des concerts en duo avec les grandes voix de la pop comme Sting, Mariah Carey ou Caetano Veloso mais aussi avec les stars éphémères du moment.

Avec une gentillesse extrême et une maîtrise de la puissance de sa voix, il a ainsi réussi à faire un duo mémorable avec les voix acidulées et instables des Spices Girls lors d'un de ses concerts "Pavarotti and friends", dont les bénéfices vont à des oeuvres humanitaires. Opposant aux critiques sa passion du chant, quelqu'il soit, il continue imperturbablement ce rendez-vous annuel pour une cause humanitaire tentant d'obtenir l'accord de Madonna et de Paul Mc Cartney pour le prochain concert. Il ne veut pas entendre parler de retraite pour l'instant, mais quand une telle heure arrivera, il compte "enseigner, le chant naturellement", révélant que son rêve de jeunesse était de "devenir professeur de gymnastique".

Si vous ne connaissez pas de journaliste influent (et influençable) le plus simple c'est de le faire vous-même. C'est ce que propose Le générateur de biographies. C'est facile, vous répondez à quelques questions, pour vous donner une idée du niveau la première vous demande si vous êtes un homme ou une femme. Il y en a ensuite d'autres pas tellement plus compliquées: "Donnez nous le nom et le prénom d'un auteur que vous appréciez. Donnez un nom d'objet. Tapez le nom d'un organe humain qui existe en double (ex : yeux, narines, jambes, oreilles, etc.) "
Voilà, votre biographie est faite. C'est facile la célébrité non? Vous pouvez aussi faire faire d'autres articles dont, le plus important, un article relatant vos plus récents exploits-scandales amoureux, ce qui va de soi lorsqu'on est célèbre.

Pour voir si un gène spécifique se cachait dans cette région et si ce dernier se retrouvait chez l'humain, les scientifiques ont cherché le même marqueur dans notre ADN... et l'ont trouvé ! Dans les millions de bases qui entouraient la matière première des gènes ils ont trouvé un gène qui semblait associé à notre perception du sucre.

Ce gène, surnommé T1r3, produit une protéine présente seulement sur les cellules de nos papilles gustatives. Cette protéine, qui déborde de la membrane cellulaire, semble faite sur mesure pour agripper les grosses molécules d'hydrates de carbone comme le sucre. En s'activant, cette protéine engendrerait une série de mécanismes chimiques et électriques menant à la sensation de sucré.
La découverte des chercheurs du Howard Hugues Medical Institute ne met pas fin aux recherches sur le goût du sucre. Sur la plupart des cellules où T1r3 était actif, en effet, un autre récepteur du goût T1r2 est aussi présent. Goûter le sucre demande-t-il la combinaison de ces deux récepteurs ? Mystère et boule de... sucre !

Photo: Le « gène du goût sucré » produirait une protéine semblable à celle-ci sur les cellules des papilles gustatives (Nature Genetics).