Pekee est un robot, type char à 2 roues (+ une roue folle), amusant et apparemment inoffensif ! Mais ne nous y fions pas, sous son allure débonnaire, Pekee devrait très rapidement devenir la référence dans le domaine de la robotique d’expérimentation… Un robot qui pourrait bien être aux robots ce qu’est le PC aux ordinateurs ! Actuellement réservé à un usage professionnel, sa démocratisation est en cours et sous peu (quelques mois) vous pourrez l’acquérir pour votre usage personnel. Intégrant les dernières technologies, Pekee a pour vocation d’évoluer au fur et à mesure de nos besoins. Doté de nombreux capteurs d’environnement, Pekee qui est actuellement une plate-forme robotique complète et autonome pour chercheurs, profs et spécialistes (des nouvelles technologies en robotique)… va se démocratiser. Grâce à sa technologie modulaire on pourra lui rajouter des accessoires qui en feront un robot amusant, ludique et domestique. Bientôt nous devrions voir des Pekee équipés de bras, de chenilles, de cartes vocales et de cartes de télé-transmission pour en faire «le» robot modulaire ouvert à tous ! Pour tous ceux qui ont toujours rêvé de comprendre comment marche un robot et d’en avoir un bien à eux… Il est pourvu d'une carte mère qui gère toute sa communication interne. Heureusement vu vante les mérites d'options les à lui rajouter, au la fourrure et à mesure, le pair l'intermédiaire des cartes remplissent additionnelles …, de modules électroniques, de capteurs, de cartes de visions stéréoscopiques, etc. Et ce n'est la primauté vante les mérites, sur peut rajouter à Pekee qui grandit chaque jour les périphériques informatiques à de norme la USB. Il est aussi ONU véritable portable de PC qui peut fonctionner sous Linux ou Fenêtres. Il disposent de surcroît d'un le Logiciel d'Instinct, implanté dans la carte mère, qui lui permet d'éviter les des obstacles, lui assure Des l'acquisition données extérieures, gestion la d'autonomie électrique et l'asservissement moteur. Evolutif, puisqu'on vous dit…Vive Pekee Source : Nuwow posté
par Sphilou à 3:01 PM
Après la musique, c'est au tour des sites diffusant des jeux vidéo piratés d'être poursuivis en justice par les associations regroupant les plus importants acteurs du marché. La répression contre le cyber-divertissement gratuit s'organise... L'Interactive Digital Software Association (IDSA), l'association qui regroupe les sociétés américaines œuvrant dans l'industrie du jeu vidéo, a annoncé qu'elle avait réussi à fermer quatre sites Internet qui distribuaient des centaines de jeux piratés. Les membres de l'ISDA, qui rassemblent des pointures comme Eidos, LucasArts Entertainment, Nintendo, Electronic Arts et Sierra, ont voulu donner l'exemple et ont réussi a mettre un terme aux activités de quatre sites "persos" accusés d'avoir mis à disposition des internautes, gratuitement, des centaines de jeux à télécharger. Les auteurs des sites devront en outre verser des dommages et intérêts, dont le montant pourrait s'élever à 150.000 dollars ( plus d'un million de francs) par jeu piraté. Le président de l'IDSA, Doug Lowenstein, a donc déclaré la guerre aux "warez" ou "roms", ces sites qui permettent de télécharger dans leur intégralité des jeux vidéo. A noter qu'en novembre, l'IDSA avait déjà réussi à mettre un terme aux activités en ligne de six sites qui commercialisaient des CD-Roms de jeux copiés. En France, la guerre contre les pirates des jeux n'a pas encore fait de victimes, ce qui n'a pas empêché le Premier ministre, lors du discours d'inauguration du Milia, de condamner le piratage en ces termes : "ce comportement prédateur est inacceptable…La mise en place d'une économie des contenus numériques suppose un usage licite et sécurisé des œuvres diffusées en ligne, permettant aux auteurs d'être rémunérés, quel que soit le mode de facturation des services". La régulation d'Internet est en marche... Par: Laura Marchegiani Source & infos complémentaires : Les news posté
par Sphilou à 4:07 PM
On croit rêver! Impuissante à empêcher les services du genre Napster d'opérer, l'industrie du disque s'en prend aux utilisateurs. C'est en effet à la demande de l'International Federation of Phonographic Industry (IFPI) qu'en Belgique, la police a fait une descente chez des usagers de MP3Blast.com (désormais fermé), service Internet d'échange de musique. Bonjour Big Brother. Outre MP3Blast.com, qui fait l'objet d'une enquête sur plainte de l'IFPI pour infraction aux droits d'auteur, le porte parole du ministère public, Olivier Bogaert, a déclaré aux médias que quatre autres cas impliquant des usagers de Napster étaient instruits. Marcel Heymans, responsable de la filiale belge de l'IFPI a fait savoir que leurs équipements de détection permettraient de localiser par milliers les utilisateurs fraudeurs. Il ne faut pas s'étonner que la police belge se soit prêtée à ce jeu, dans un climat où l'Europe se préoccupe de se doter d'une législation destinée à protéger le droit d'auteur dans le cyberespace. On se rappelle immanquablement qu'il y a eu des précédents quand la Business Software Association (BSA) faisait pression sur les États et les polices pour faire la chasse aux entreprises utilisant des logiciels copiés illicitement, n'hésitant pas à calculer le manque à gagner fiscal pour l'État, de façon à justifier que celui-ci fasse intervenir les forces de l'ordre. EMusic (Nasdaq: EMUS), service en ligne de vente de musique numérique, et titulaire des droits de 150 000 morceaux, a déjà mis en cause les internautes usagers de Napster dans sa croisade contre ce dernier, adressant des mises en demeure par courriel à ceux d'entre eux qui téléchargeaient sa musique, leur intimant de cesser dans les 24 heures, sous peine de représailles, et exigeant de Napster qu'il bannisse de ses listes d'utilisateurs plusieurs dizaines de milliers d'usagers. De son côté, guère plus élégamment, et de façon moins médiatisée – il fallait se donner la peine de lire l'opinion de la Cour d'appel de Californie -, Napster lui-même n'a pas hésité pour sa défense, à tenter de se soustraire à sa responsabilité en pointant un doigt accusateur sur les utilisateurs du service qui seraient les vrais contrevenants, genre «c'est pas moi, c'est eux». Un comble! Et voici que l'industrie du disque, impuissante face aux services en ligne, s'en prend au maillon le plus faible, l'usager. Sauf que les victimes de ce qu'il faut bien appeler de la répression se recrutent désormais dans sa clientèle traditionnelle. Cette manière forte risque bien d'être très impopulaire chez les jeunes et de se retourner contre les professionnels du disque. Texte rédigé par : Philippe Riondel Source:Branchez-vous posté
par Sphilou à 8:13 AM
Quarante-huit heures après avoir touché le sol de l'astéroïde Eros, la sonde NEAR-Shoemaker émet toujours ses signaux vers la Terre avec une étonnante régularité ! Et la NASA compte bien en profiter pour accumuler une nouvelle moisson de renseignements. A 20h04 TU le 12 février dernier, NEAR touchait le sol d'un astre autour duquel elle était restée un an en orbite. Au moment de l'impact, le contact radio fut interrompu un bref instant, puis reprit : la sonde a donc vraisemblablement rebondi avant de s'immobiliser. Le choc avec la surface a été assez doux grâce à un freinage obtenu par l'allumage, à quatre reprises, des moteurs de correction d'orbite qui ont réduit la vitesse résiduelle à environ 5 km/h. La chance a également souri à la NASA : la dernière image émise par la sonde a été prise à 120 mètres seulement - alors que 500 m avaient été prévus - ce qui a permis d'observer à la surface d'Eros des détails centimétriques ; en outre, la position dans laquelle la sonde s'est immobilisée - rappelons qu'elle ne dispose pas de train d'atterrissage - permet à la fois à son antenne de s'orienter vers la Terre, et à ses panneaux solaires d'être éclairés par le Soleil. Un concours de circonstances que la NASA compte bien mettre à profit. D’après le plan original, le suivi de la sonde devait être interrompu 2 jours après sa chute sur Eros, sa destruction ou sa mise hors service semblant alors inévitables. Durant deux jours, les techniciens et les responsables de la mission ont évalué la situation........... Suite de l' article en lien Source &suite de l' article : Geoman posté
par Sphilou à 1:24 PM
Les nouveaux insectes robots développés par Hasbro feront la joie de vos enfants. Ces jouets robotisés sont indépendants et complètement autonomes. Hasbro a présenté à l'occasion de la Foire du Jeu de Hong Kong le premier jouet intégrant un système nerveux avancé. La créature s'appelle B. I. O. bug (Bio-mechanical Integrated Organisms). Cette technologie, à l'étude depuis dix ans par le gouvernement américain, permet comme la colonne vertébrale chez les humains, de connecter ensembles différentes fonctions isolées. L'insecte peut aller et venir comme bon lui semble, reconnaître des amis ou des éléments hostiles, éviter les obstacles. Il réagit exactement comme le ferait un véritable insecte, c'est à dire de façon imprévisible. Vous pouvez cependant commander à votre insecte de vous suivre comme un petit chien grâce à un transmetteur spécial. Pour survivre, la petite bêbête doit s'alimenter, et elle le fait en absorbant des émissions de rayons infrarouges (télécommande de télévision, lumière fluorescente). Il existe quatre espèces d'insectes robots, identifiables par quatre couleurs distinctes qui symbolisent les caractéristiques propres à chaque espèce. Les insectes robots seront lâchés dans la nature à partir de septembre 2001. .. Par Sandra Michaux Source & infos complémentaires : Besok posté
par Sphilou à 1:05 PM
AYUTTHAYA - mercredi 14 février 2001 Jamais à court d'idées pour attirer le touriste, les Thaïlandais ont organisé deux mariages d'éléphants, en grande pompe, et des unions subaquatiques, humaines celles-ci, à l'occasion de la St-Valentin. Les deux couples de pachydermes ont pris part à une cérémonie nuptiale "traditionnelle", c'est-à-dire en costume de soie, avec des guirlandes florales jaunes et des dots de friandises et d'argent, à Ayutthaya, l'ancienne capitale du royaume de Siam. Un premier mariage a été célébré entre Plai Buabarn ("Lotus Epanoui"), un mâle de 24 ans, et Phung Oychai ("Mon Coeur"), du même âge. La seconde cérémonie a uni une femelle de 24 ans, Phung Nam Phung, que l'on appelle aussi "Honey" (Chérie), et Phai Nga-thong ("Défense d'or"), 15 ans. Assistés par leurs "mahouts" (cornac), les pachydermes ont "signé" des contrats de mariage avec leurs trompes plongées dans de la peinture bleue. Selon les organisateurs, la cérémonie visait à attirer l'attention sur le sort de l'éléphant de Thaïlande, un symbole national, qui est menacé à terme d'extinction si des mesures ne sont pas rapidement prises pour assurer sa survie.
Source : Winbe posté
par Sphilou à 12:13 PM
Néanmoins l’industrie devrait attendre encore un peu pour en tirer parti…Si le décryptage du génome confirme que nous avons moins de gènes que prévu ( autour de 30 000) il n’en reste pas moins que les scientifiques ignorent encore la fonction de 40% des gènes. Autre défi également à relever : l’étude des protéines, une discipline appelée protéomique pour repérer les cibles thérapeutiques prometteuses parmi les centaines de milliers de protéines dont dispose l’homme. Ainsi, transformer le décryptage en médicaments traitant les maladies génétiques pourrait prendre autant de temps qu’a pris le décryptage lui-même, peut-être 10, 20, 30 ans à partir d’aujourd’hui… .. Par Chantal Fievet Source & infos complémentaires : Besok posté
par Sphilou à 11:47 AM
Déjà très original de par sa forme, ce catamaran, hyper rapide et spacieux, fait honneur au nouveau millénaire en étant le premier yacht de croisière à se piloter grâce à un joystick et une souris ! Aucune barre à roue pour le piloter, pas de matériel traditionnel marin, tout se fait grâce au matériel informatique. Son propriétaire devra forcément avoir une formation Mac ou PC et savoir manier le joystick… Malgré son air de ferry tout rond… Ses 200m2 de surface habitable pour une longueur de 21m30 (et oui, très rare une telle superficie pour un bateau !) et une hauteur de 7m60 (qui permet d’organiser 3 niveaux) en font un véritable palace flottant. La timonerie, hyper luxueuse, formée d’écrans informatiques en demi-cercle (certains tactiles, d’autres à souris) offre une vue imprenable permettant toutes les manœuvres. D’autant plus qu’il a un très faible tirant d’eau et un poids très allégé grâce à ses 2 turbines Lips dont chacune est entraînée par 2 diesels MAN de 1200 ch chaque. Le capitaine pilote, aidé en cela de son joystick d’une part, doublé d’un bouton à gauche pour les manœuvres au port et d’un autre à droite pour la navigation en mer, d’autre part. Avec ses grosses turbines représentant 4800 chevaux, le yacht a tout du bolide frôlant les 40 nœuds ! Son prix, de 45 000 000 F, le réserve à une clientèle particulièrement aisée et ciblée. Mais cocorico ! il sort d’un chantier français le King Cat installé à Olonnes-sur-mer en Vendée. Et personne ne nous interdit de rêver ni de nous enthousiasmer pour de la belle technique ou de la belle matière… Source : Nuwow posté
par Sphilou à 2:05 PM
Mohamad Sawan, professeur à l'École polytechnique de Montréal, a mis au point un oeil électronique qui rendrait la vue aux personnes aveugles, même celles qui le sont depuis la naissance. « On connaît aujourd'hui la zone du cerveau qui analyse les données transmises par les yeux pour en faire des images. Il suffit de remplacer l’œil déficient par une caméra, et de ne pas tenir compte du nerf optique pour apporter les informations au cortex visuel », explique Mohamad Sawan. Ainsi la puce s'adresse directement aux neurones, fournissant les signaux qui, normalement, sont apportés par le nerf optique. La grande idée de ces travaux commencés en 1994, c’est donc de court-circuiter la fonction de la rétine et du nerf optique pour reproduire la vision. Ainsi, cette technique peut servir à tous les non-voyants, même aux aveugles de naissance. Pour les premiers tests, l’équipe utilisera des singes dont les yeux seront bandés. « Le singe est un animal intelligent, explique Mohamad Sawan. En lui apprenant à réagir à la vue de certaines formes, il sera facile de vérifier s'il voit ou non ». Reste à miniaturiser le système et d'ici une dizaine d'années au plus tard, il sera possible de donner ou re-donner la vue aux aveugles ! ... Par Michèle Graveline Pour en savoir plus : Ecole polytechnique de Montréal Source & infos complémentaires : Besok posté
par Sphilou à 2:02 PM
Le mammouth Jarkov livre ses secrets au compte-gouttes. Centimètre par centimètre, les scientifiques tentent de faire fondre la couche de sol gelé qui entoure ce mammouth laineux. Il y a 20.000 ans, Jarkov parcourait les steppes du Grand Nord sibérien, situées dans l’actuelle presqu’île de Taymir. Il est mort à l’âge de 47 ans, sans doute accidentellement, selon les chercheurs. Arraché du pergélisol en octobre 1999 par l’expédition de Bernard Buigues, le mammouth a été transporté dans sa gangue de glace jusqu’à une grotte, à Khatanga. C’est là qu’une équipe internationale de scientifiques tentent de le faire ‘’parler’ ’. En analysant des mousses, des graines, des champignons, des fleurs ou du pollen piégés dans la glace, le Hollandais Bas van Geel, de l'Université d'Amsterdam, a découvert que Jarkov vivait dans une steppe herbeuse, parsemée de petites fleurs du type Artemisia. Il allait sans doute se désaltérer à un point d’eau, comme le révèle la présence d’algues dans la gangue de glace. Le bon état de conservation de ces végétaux suggèrent qu’ils ont été rapidement recouverts par des sédiments, peut-être lors d’un glissement de terrain. D’ailleurs, selon le paléontologue américain Daniel Fisher, Jarkov est mort alors qu’il était en bonne santé. Le chercheur du Michigan a pu faire ce diagnostic en analysant les anneaux de croissance des défenses du mammouth. L’analyse chimique indique les changements de composition en fonction de l’alimentation, du climat ou du sol. Les variations saisonnières signifient que le mammouth se déplaçait régulièrement entre le nord, où la nourriture est plus abondante en été, et le sud, plus clément en hiver. Par Cécile Dumas ... Photo: L’hélitreuillage de Jarkov vers la grotte de Khatanga. (Francis Latreille) Source & infos complémentaires : Sciences & Avenir posté
par Sphilou à 7:59 AM
On ne peut pas dire que le bon goût caractérisait le premier film odorant de John Waters "Polyester". France Telecom R&D ne peut que mieux faire avec ses deux prototypes d’ordinateurs et de télévision à diffusion d’odeurs. Mis au point en collaboration avec la société munichoise Ruetz Technologies et l’Institut supérieur international du parfum de la cosmétique et de l’aromatique alimentaire (Ipisca), ces appareils permettent déjà de visiter un site Web parfumé (miel, cédrat ou citron au programme) ou de sentir à la télévision des publicités pour crèmes caramels via un appareil portatif chargé de produits odorants. D’ici un an, ces systèmes pourront combiner jusqu’à deux cents senteurs microdosées. Si l’on imagine facilement une météo marine avec odeur de grand large on peut s’interroger sur ce qui pourrait accompagner la visite d’un site de Bourse en ligne ou d’une émission de variétés. À développer avec modération! http://www.insomnews.com/news/news.html http://www.cnet.francetelecom.fr Texte de Claire Mathieu Photo © http://www.rd.francetelecom.fr/fr/framset/fr_actu.htm Source: La cité des sciences posté
par michey1 à 7:56 AM
Le programme « Céleste » enregistre les rayons gamma cosmiques de haute énergie. Trop ambitieuse, trop coûteuse, la seule centrale solaire française à four, Thémis, située dans les Pyrénées-Orientales, n’a fonctionné que trois ans. Mais un succès scientifique et technologique de premier ordre vient d’effacer l’échec initial. Un télescope unique en son genre, Céleste, est entré en service en 1998, sur les vestiges de la centrale. Désormais, 40 héliostats, ces miroirs qui suivaient le soleil tels des tournesols, sont pointés vers les étoiles. Texte de Claire Guillot . Photo d' Olivier Blaise. Source: National Geographic France posté
par michey1 à 2:34 PM
Saint Isidore, Saint Patron des Internautes Ce n'est pas une blague ; Après s'être doté de son propre site Web en 1996, le Saint-Siège poursuit son avancée sur les voies de l'Internet. Jean-Paul II a désigné mardi un Saint Patron pour les internautes et les informaticiens. Son choix s'est porté sur Saint Isidore, évêque de Séville au VIIe siècle, précurseur dans la recherche d'information puisqu'il aurait inventé l'Encyclopédie posté
par michey1 à 7:33 AM
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